FAQ

Below you’ll find the answers to the questions we get asked most often. If you don’t see your question, feel free to contact us.

Le transport par train a été étudié durant 3 ans. C’était d’ailleurs le scénario présenté dans la première version de l’étude d’impacts : http://www.bape.gouv.qc.ca/sections/mandats/mine_apatite_lac-a-paul/documents/PR3.1.pdf (p. 4-26 à la page 88/636 du PDF). Après ces 3 années d’étude des différentes options permettant l’utilisation du train, toutes ces options, en plus de soulever des problèmes de logistique (site de transfert supplémentaire), de sécurité publique (un train de 1 kilomètre de long coupant les rues trop longtemps pour les véhicules d’urgence) et d’empiétement sur le territoire agricole, ont été jugées non acceptable.in French) (see pp. 4-26 to 88/636 of the PDF). At the end of the study, all the possible rail transport options studied were found to present problems in terms of logistics (a requirement for an additional transfer site), public safety (a kilometre-long train would block streets too long for emergency vehicles) and encroachment on farmland, and were deemed unacceptable.

An assessment of the effects of increased maritime traffic on subaquatic noise in the Saguenay River (WSP, 2017) concluded that, even in MAXIMUM traffic conditions (i.e., an increase of 410 ships by 2030 due to the ongoing projects in the Saguenay region, including Blackrock and GNL Québec), the river would remain unaffected by noise from large ships 95.7% of the time when belugas are present, i.e., between May and October. Taking only the noise from traffic related to the shipping terminal facilities on the north shore into consideration, under maximum multi-user conditions (140 ships), the Saguenay would remain free of noise from these ships for 97.4% of the period when belugas are present there (in French).

 

Lors des audiences du BAPE, Arianne a signifié à la commission qu’elle souhaite réutiliser les navires de Rio Tinto pour l’expédition du concentré d’apatite et que ceux-ci pourraient représenter 25 % des navires utilisés. Ce pourcentage pourrait être augmenté. Arianne aura besoin d’une soixantaine de navire par année, selon le tonnage de ceux-ci. http://www.arianne-inc.com/fr/salle-de-presse/communiques-de-presse/arianne-et-rio-tinto-discutent-pour-optimiser-le-transport-maritime

During the BAPE hearings, Arianne informed the commission that it wishes to use Rio Tinto ships to transport apatite concentrate that these ships could represent 25% of all vessels used. This percentage could be reduced. Arianne will require approximately 60 ships per year, depending on the vessels’ tonnage.

La route de transport du concentré a été fixée dans le Décret 1139-2015 du gouvernement du Québec : Voir la carte http://www.arianne-inc.com/files/_user/bloc_image/carte_-_route_du_decret_l.jpg Afin de minimiser l’impact du transport sur des secteurs de villégiature plus sensible, Des contournements ont été proposés aux différents ministères Ces contournements sont présentement à une étape préliminaire. Ceux-ci devront être approuvés par plusieurs ministères provinciaux, une fois l’ingénierie détaillée de ceux-ci complétée.

Voir la carte des contournements proposés http://www.arianne-inc.com/files/_user/bloc_document/carte_-_localisation_contournements_-v1_avec_notice-.pdf

Le produit d’Arianne Phosphate, le concentré d’apatite, est un sable fin. Il n’est pas soluble dans l’eau. Le phosphore qu’il contient est « prisonnier » des cristaux d’apatite et ne peut pas se dissoudre dans l’eau. Un déversement de concentré d’apatite dans l’eau aurait donc comme conséquence de mettre des matières en suspension dans l’eau (eau brouillée).

Nous n’avons pas de poste à combler présentement. Vous pouvez quand même nous envoyer votre CV pour notre banque de candidatures à info@arianne-inc.com. Les contracteurs retenus pour la construction engageront leur propre personnel.

Non. Tant qu’Arianne Phosphate n’aura pas commencé à construire les infrastructures minières, la construction du port ne sera pas débutée par l’Administration portuaire du Saguenay.

Oui, la Loi sur les mines oblige toute entreprise minière à mettre en fiducie les fonds nécessaires à la restauration dans les deux années après l’approbation du plan de restauration par le Ministère de l’Energie et des Ressources Naturelles (50% des fonds dans les 90 jours suivant l’obtention, puis 25% au première anniversaire et les 25% restant au deuxième anniversaire). Le Plan de restauration doit être approuvé avant le début de la construction.

La roche phosphatée peut provenir de gisements sédimentaires (Afrique du Nord, Moyen-Orient et États-Unis) ou de gisements ignés (Brésil, Canada, Finlande, Russie et Afrique du Sud). Les gisements d’origine sédimentaires représentent 85% des gisements dans le monde et ils sont très susceptibles de contenir de grandes quantités d’impuretés, comme les métaux lourds, dont le cadmium et l’uranium. Le phosphate d’Arianne provient d’un gisement d’origine ignée. Les gisements ignés représentent 15% des gisements dans le monde et ne contiennent généralement que peu ou pas de contaminants.

Oui. La pourvoirie du Lac-Paul est très appréciée des chasseurs et pêcheurs. Il est prévu de poursuivre les activités, avec le moins d’impact possible pour les utilisateurs.

La roche phosphatée peut provenir de gisements sédimentaires (Afrique du Nord, Moyen-Orient et États-Unis) ou de gisements ignés (Brésil, Canada, Finlande, Russie et Afrique du Sud).

87 % du produit issu de la transformation de la roche phosphatée (apatite) est utilisé dans la production de fertilisants. 7 % du produit issu de la transformation de la roche phosphatée (apatite) est destiné à la production de suppléments alimentaires pour les animaux. 6 % est utilisé dans divers produits, tels que les agents de conservation et anticorrosifs, les produits de beauté, les fongicides, la céramique, le traitement de l'eau et la métallurgie.

http://www.arianne-inc.com/fr/projet-minier/produit/quest-ce-que-le-phosphore 

Arianne Phosphate est une compagnie publique cotée à la Bourse de Toronto TSX-Venture en 2003 sous le symbole "DAN".

Depuis 2014, un suivi est réalisé mensuellement sur tous les plans d’eau et même au niveau des nappes phréatiques du secteur. Ces analyses ont pour but d’avoir des statistiques sur la composition physico-chimique avant l’exploitation, ce qui nous permettra de faire des correctifs au besoin, s’il y a des variations notables. Il n’y aura aucune modification physique du lac Paul.

Le site de Belledune au Nouveau-Brunswick a un long passé au niveau de son industrie lourde et sa capacité d’accueil. Ce site a déjà été le site d’une exploitation d’une usine de fabrication d’acide phosphorique, et ce, pendant 20 ans. Les installations ont été fermées il y a plus de 20 ans. Les avantages du site sont nombreux : Zone industrielle conçue pour recevoir ce genre d’usine, la possibilité de s’approvisionner facilement en acide sulfurique (l’un des deux principaux ingrédients), la dimension des terrains disponible, un processus réglementaire simple et connu, un appui du gouvernement provincial et la facilité à obtenir l’énergie nécessaire pour ce projet. Nous sommes en étude de préfaisabilité, en partenariat avec Opportunités Nouveau-Brunswick. Aucune décision n’a été prise à savoir si nous allons de l’avant avec la construction de ce projet. Plusieurs étapes sont à franchir avant d’en arriver là.

Pour le moment, l’étude économique n’a été effectuée que sur un seul gisement des titres miniers d’Arianne Phosphate, soit la Zone Paul. La Zone Paul permet l’exploitation de la mine durant 25 ans. Des ressources supplémentaires ainsi que d’autres zones minéralisées potentielles ont été identifiées sur les titres miniers d’Arianne, qui pourraient éventuellement prolonger la vie de la mine. Cependant, la règlementation canadienne sur l’information concernant les projets miniers (règlement 43-101) ne nous autorise pas à augmenter le nombre d’années d’exploitation tant qu’une étude économique n’a pas été effectuée sur ces autres zones minéralisées.

Pour voir l’ensemble des zones minéralisées potentielles qui ont été identifiées : http://www.arianne-inc.com/fr/projet-minier/geologie

Pour les raisons suivantes, nous avons écarté cette possibilité : rejected this possibility for the following reasons:

  • Le décret du gouvernement a déjà déterminé quel transport Arianne doit utiliser.
  • Le chemin de fer projeté passe à plus de 100 km de la mine, il faut donc quand même utiliser des camions et faire un transfert, ce qui cause d’énormes problèmes de logistique qui nous ont poussés à abandonner l’option du train au Saguenay.
  • Il n’y a pas d’opérateur lié au projet. On assume donc qu’il faudrait acquérir notre propre locomotive, ce qui demande des délais de livraison de plusieurs années.
  • Peu importe le port, Arianne Phosphate doit construire un quai, un chargeur de bateau, des silos, des accès, etc. On n’économise que sur le dynamitage, ce qui est loin de couvrir le prix d’un train (nous avons déjà étudié l’achat d’un train, nous avons ces données).
  • Dans la description du projet, il semble que le promoteur compte sur 100 % de subventions pour se financer.
  • Le promoteur ne nous a jamais contactés.

Le choix entre les différents scénarios de transport s’est fait sur de nombreux critères. Le scénario de Saint-Fulgence était supérieur aux deux tracés vers Forestville dans ses aspects techniques, économiques et milieux naturel et tout aussi avantageux sur le plan du milieu humain. De plus, sur le tracé le plus avantageux de Forestville, les 89 derniers kilomètres sont asphaltés et normés. Il est donc impossible d’y faire circuler nos camions de concentré.


À cela, il faut ajouter aux options routières, la comparaison des options portuaires. Dans les deux cas, les entrepôts, convoyeurs, quai, chargeurs et autres installations industrielles sont à construire. Au niveau du site du port, le scénario de Sainte-Rose demande de créer un nouveau site, directement en eau profonde. Le port de Forestville est existant, mais il aurait fallu créer une jetée de 3 kilomètres dans le Saint-Laurent pour atteindre l’eau profonde. (Pour des raisons environnementales évidentes, nous avons refusé de considérer le dragage sur une telle distance.) Le site de Sainte-Rose a donc été jugé comme ayant un moindre impact.

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